ahmed_mehdi
01-16-2009, 01:36 AM
السلام عليكم و رحمة الله, أطلب من الإخوة أن يقولوا لي هل هذا النص صالح للنقد بطريقة عقلانية, و هو مقدمة كتاب أخي الذى سبقلي التحدت عليه, أريد منكم أرجوكم أن تفعلوا كل جهدكم من أجل نقد النص لأنه يدعو للإلحاد بطريقة غير مباشرة و سوف ينشره عما قريب أدعو الله أن يجعله شفاعة ومغفرة يوم الوقوف أمام العظيم وا خاصة أريد نقد نظرية داروين أرجوكم لأنها في النص
La réalité de la nature humaine. Le combat pour la vie et pour le mieux être est une réalité première, archaïques des mondes végétal, animal et humain . S’agissant du monde humain, le progrès de la civilisation a consisté à transcender, à sublimer cette réalité de sorte qu’elle est combattue par beaucoup de doctrines . Dans une société avancée, la lutte individuelle n’a plus pour enjeu la survie de l’individu, mais il reste que certains enjeux de la compétition ne peuvent être partagés. L’inquiétude de l’étudiant et de l’amoureux en atteste. A la solitude du coureur de fond, répond celle du navigateur solitaire. Il n’y aura qu’un seul vainqueur . Et il n’est pas neutre que ceux-là mêmes qui aspirent à une égalité de traitement se repaissent du spectacle d’une compétition parfois poussée au-delà des limites de l’humain . Cela dresse de l'homme
« Le combat des lichens et des algues pour assurer leur survie n’est connu que de quelques naturalistes. En revanche, chacun sait que la lutte a été et est toujours la règle dans le monde animal. Walt Disney n’est pas encore parvenu à faire oublier que beaucoup d’espèces ne survivent qu’en s’attaquant aux plus faible qui leur servent de proie, et que même parmi les herbivores, la concurrence peut faire rage pour défendre un territoire ou une position de dominance. Dans le monde animal, seuls survivent ou prospèrent le plus forts. L’œuvre de sélection ainsi opérée et même considérée par la théorie darwinienne comme une condition de la survie de l’espèce. ». C. Lucas de Leyssac, G. Parleani, le droit du marché, PUF, coll. « Thémis », 2002, p. 10.
La plupart des doctrines et toutes les religions mettent l’accent sur les valeurs qui sont à l’opposé de la concurrence : l’amour du prochain, les valeurs d’entraide et de solidarité. Elles condamnent l’orgueil, l’envie et la concupiscence qui sont à l’origine de la concurrence entre les Hommes Pour plus de détail v. : C. Lucas de Leyssac, G. Parleani, Id. 2002, p. 13.
Dans le même sens, Ripert dans ses ouvrages théoriques sur les rapports entre le droit et la morale écrivait : « Dans les sciences économiques nul ne pouvait conserver la froide impartialité du savant. Les rapports entre les Hommes ne sont pas des rapports nécessairement dérivant de la nature des choses. Ils sont crées par les Hommes. Ils peuvent être modifiés par eux l’humanité rêve sans cesse de les modifier ». G. Ripert, Aspects juridiques du capitalisme moderne, 2° éd., LGDJ, 1951, P.4-5 cité par M. A. F. Roche et S. Bonfils, « Articulation entre les système juridique et le système économique », in Les grandes questions du droit économiques, PUF, 2005, P.9 spéc. P. 12.
Si les hommes se battent pour détruire, faire mal, tuer, pour accaparer des ressources naturelles, des richesses ou des honneurs, c'est non seulement pour vivre ou en tirer avantage mais aussi pour priver les autres de ce qui leur est pris. Ce qui rejoint la thèse développée par Hobbes : si dans la vie sociale, "L'homme est un loup pour l'homme.", c'est parce que chaque homme est en conflit avec tous les autres d'une part par nécessité, afin d'assurer sa conservation, mais d'autre part aussi du fait de passions naturelles qui l'incitent à les violenter et à jouir de certains avantages à leurs dépends. En somme donc, si l'homme est violent, c'est par nature qu'il l'est.
Un grand poète peut se permettre d'exprimer, du moins sur le ton de la plaisanterie, des vérités psychologiques rigoureusement réprouvées. C'est ainsi que H. Heine nous l'avoue : « je suis l'être le plus pacifique qui soit. Mes désirs sont : une modeste cabane avec un toit de chaume, mais dotée d'un bon lit, d'une bonne table, de lait et de beurre bien frais avec des fleurs aux fenêtres ; devant la porte quelques beaux arbres ; et si le bon Dieu veut me rendre tout à fait heureux, qu'il m'accorde de voir à peu près six ou sept de mes ennemis pendus à ces arbres. D'un coeur attendri, je leur pardonnerai avant leur mort, toutes les offenses qu'ils m'ont faites durant leur vie - certes on doit pardonner à ses ennemis, mais pas avant qu'ils soient pendus » (HEINE, Pensées et propos).
un sombre tableau ce qui rejoint une des thèses que soutient Freud dans « Malaise dans la civilisation » : « L'homme n'est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d'amour, dont on dit qu'il se défend quand on l'attaque, mais un être, au contraire, qui doit compter au nombre de ces données instinctives une bonne somme d'agressivité » .
La réalité de la nature humaine. Le combat pour la vie et pour le mieux être est une réalité première, archaïques des mondes végétal, animal et humain . S’agissant du monde humain, le progrès de la civilisation a consisté à transcender, à sublimer cette réalité de sorte qu’elle est combattue par beaucoup de doctrines . Dans une société avancée, la lutte individuelle n’a plus pour enjeu la survie de l’individu, mais il reste que certains enjeux de la compétition ne peuvent être partagés. L’inquiétude de l’étudiant et de l’amoureux en atteste. A la solitude du coureur de fond, répond celle du navigateur solitaire. Il n’y aura qu’un seul vainqueur . Et il n’est pas neutre que ceux-là mêmes qui aspirent à une égalité de traitement se repaissent du spectacle d’une compétition parfois poussée au-delà des limites de l’humain . Cela dresse de l'homme
« Le combat des lichens et des algues pour assurer leur survie n’est connu que de quelques naturalistes. En revanche, chacun sait que la lutte a été et est toujours la règle dans le monde animal. Walt Disney n’est pas encore parvenu à faire oublier que beaucoup d’espèces ne survivent qu’en s’attaquant aux plus faible qui leur servent de proie, et que même parmi les herbivores, la concurrence peut faire rage pour défendre un territoire ou une position de dominance. Dans le monde animal, seuls survivent ou prospèrent le plus forts. L’œuvre de sélection ainsi opérée et même considérée par la théorie darwinienne comme une condition de la survie de l’espèce. ». C. Lucas de Leyssac, G. Parleani, le droit du marché, PUF, coll. « Thémis », 2002, p. 10.
La plupart des doctrines et toutes les religions mettent l’accent sur les valeurs qui sont à l’opposé de la concurrence : l’amour du prochain, les valeurs d’entraide et de solidarité. Elles condamnent l’orgueil, l’envie et la concupiscence qui sont à l’origine de la concurrence entre les Hommes Pour plus de détail v. : C. Lucas de Leyssac, G. Parleani, Id. 2002, p. 13.
Dans le même sens, Ripert dans ses ouvrages théoriques sur les rapports entre le droit et la morale écrivait : « Dans les sciences économiques nul ne pouvait conserver la froide impartialité du savant. Les rapports entre les Hommes ne sont pas des rapports nécessairement dérivant de la nature des choses. Ils sont crées par les Hommes. Ils peuvent être modifiés par eux l’humanité rêve sans cesse de les modifier ». G. Ripert, Aspects juridiques du capitalisme moderne, 2° éd., LGDJ, 1951, P.4-5 cité par M. A. F. Roche et S. Bonfils, « Articulation entre les système juridique et le système économique », in Les grandes questions du droit économiques, PUF, 2005, P.9 spéc. P. 12.
Si les hommes se battent pour détruire, faire mal, tuer, pour accaparer des ressources naturelles, des richesses ou des honneurs, c'est non seulement pour vivre ou en tirer avantage mais aussi pour priver les autres de ce qui leur est pris. Ce qui rejoint la thèse développée par Hobbes : si dans la vie sociale, "L'homme est un loup pour l'homme.", c'est parce que chaque homme est en conflit avec tous les autres d'une part par nécessité, afin d'assurer sa conservation, mais d'autre part aussi du fait de passions naturelles qui l'incitent à les violenter et à jouir de certains avantages à leurs dépends. En somme donc, si l'homme est violent, c'est par nature qu'il l'est.
Un grand poète peut se permettre d'exprimer, du moins sur le ton de la plaisanterie, des vérités psychologiques rigoureusement réprouvées. C'est ainsi que H. Heine nous l'avoue : « je suis l'être le plus pacifique qui soit. Mes désirs sont : une modeste cabane avec un toit de chaume, mais dotée d'un bon lit, d'une bonne table, de lait et de beurre bien frais avec des fleurs aux fenêtres ; devant la porte quelques beaux arbres ; et si le bon Dieu veut me rendre tout à fait heureux, qu'il m'accorde de voir à peu près six ou sept de mes ennemis pendus à ces arbres. D'un coeur attendri, je leur pardonnerai avant leur mort, toutes les offenses qu'ils m'ont faites durant leur vie - certes on doit pardonner à ses ennemis, mais pas avant qu'ils soient pendus » (HEINE, Pensées et propos).
un sombre tableau ce qui rejoint une des thèses que soutient Freud dans « Malaise dans la civilisation » : « L'homme n'est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d'amour, dont on dit qu'il se défend quand on l'attaque, mais un être, au contraire, qui doit compter au nombre de ces données instinctives une bonne somme d'agressivité » .